Mardi 5 mai
Lever a 6h30 pour un décollage à 9h30 pour Saïgon.
Arrivės a l'aéroport de Phu Quoc : vol à 13h30!!!
Nous nous sommes trompés d'heure.
Heureusement j'ai mon bouquin car c' est le désert à part la vente de perles.
Christian sympathise avec deux français un peu perdus suite à un méli-mélo avec leurs billets.
A l'arrivée à Saigon , on pose les valises et on va rôder une derniere fois car on repart le lendemain.
Le cercle sportif....
Beaucoup d'émotion pour moi, car je revois les photos en noir et blanc de papa debout sur le plongeoir de cette piscine.
Le club est très vivant et propose beaucoup d'activités telles que la boxe thaï, le badminton,le football, le tennis et la....pétanque.
A l'extérieur sont improvisés des terrains de jeu de volants à plumes lancés avec le pied au dessus d'un filet avec les règles du volley.
Tout autour il y a beaucoup de parcs ombragés avec de grands arbres centenaires.
Sont mis à disposition des appareils de gymnastique et tout le monde fait du sport.
Avant de quitter Saïgon nous nous offrons un vrai restaurant dans un cadre typique bon et pas cher (18€ pour deux)
Restaurant Quan An Ngon
Mercredi 6 mai
Non sans un petit pincement au cœur , nous quittons Saïgon aujourd'hui pour partir vers les hauts plateaux de Buon Ma Thuôt , capitale de la province du Dak Lak , région de la culture du café et d'anacardier , et où l'on domestique les éléphants ...
En arrivant nous louons une voiture avec chauffeur pour nous rendre sur le site des éléphants .on traverse les champs de café encore vert ainsi que des parcelles de poivriers.
Becte du jour: cerf cochon à la citronnelle cuit à la braise.
Les forêts ont été défrichées pour faire place à la culture du café et des noix de cajou qui ne demandent pas beaucoup d'entretien.
Les plantations d'hévéas disparaissent peu à peu face à la concurrence du caoutchouc synthétique .
Au retour nous avons fait une incursion dans le village de l'ethnie des EDE , un groupe malayo-polynesien qui d'après le guide est un peuple très beau qui parle le vietnamien et le français.
Les maisons identiques à celles que nous avons croisées sur la route ont été restaurées et sont accessibles aux touristes.
Non sans un petit pincement au cœur , nous quittons Saïgon aujourd'hui pour partir vers les hauts plateaux de Buon Ma Thuôt , capitale de la province du Dak Lak , région de la culture du café et d'anacardier , et où l'on domestique les éléphants ...
Nous devons passer deux nuits au Coffee Tour Resort .
En arrivant nous louons une voiture avec chauffeur pour nous rendre sur le site des éléphants .on traverse les champs de café encore vert ainsi que des parcelles de poivriers.
Champ de caféiers
Nous traversons des villages ethniques ( les M'nongs ) implantés dans la terre rouge qui recouvre tout. Les bâtisses rudimentaires qui abritent des familles entières sont très longues, en bois construites sur pilotis.
Nous réservons une ballade à dos d'éléphant pour l'après midi et traversons un pont de singe pour nous installer dans un restaurant en plein air au dessus d'une rivière .
Nous mangeons sur des tables basses, assis sur des nattes.
Becte du jour: cerf cochon à la citronnelle cuit à la braise.
Nous grimpons à dos d'éléphant pour un petit tour dans la rivière . Très touristique , secoués , mais sympathique.
Pas grand chose à voir, il y a beaucoup de bâtiments administratifs et un hôtel grand luxe implanté au milieu des demeures assez pauvres.
Jeudi 7 mai
Le chauffeur nous prend à 7h30 a l'hôtel, direction les chutes d'eau de Dray nur , l'une des 4 cascades de la région.
On sillonne les routes de terre rouge sous des nuées de petits papillons jaunes qui virevoltent gracieusement tels des flocons de neige. Ils migrent dans la région à l'approche de la saison des pluies. On se croirait dans un dessin animé de Disney !
Nous nous arrêtons dans une plantation d'anacardiers ( noix de cajou) . Les arbres produisent de gros fruits rouges et les noix sont accrochés à l'extrémité .
Les forêts ont été défrichées pour faire place à la culture du café et des noix de cajou qui ne demandent pas beaucoup d'entretien.
Les plantations d'hévéas disparaissent peu à peu face à la concurrence du caoutchouc synthétique .
Papa a travaillé dans ces plantations du côté de Bien Hoa dans la périphérie de Saigon lorsqu'il avait 17 ans....
Le chauffeur nous explique qu'il n'y a pas si longtemps il y avait dans les forêts alentours des tigres et des éléphants sauvages . Ils sont maintenant dans des réserves naturelles.
Au retour nous avons fait une incursion dans le village de l'ethnie des EDE , un groupe malayo-polynesien qui d'après le guide est un peuple très beau qui parle le vietnamien et le français.
Les maisons identiques à celles que nous avons croisées sur la route ont été restaurées et sont accessibles aux touristes.
et la becte du jour : le banh cuon préparé traditionnellement puis savouré à l'hôtel .
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